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Dobro Pojalovat - Films

Dobro Pojalovat - Films

Indiangay

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8 février 2016

La pudeur ou l'impudeur - Hervé Guibert

3573310002837Quelques mois avant sa mort, l'impérieuse nécessité de tourner saisit Hervé Guibert, et c'est avec "les moyens du bord", la vidéo, qu'il se lance en juin 1990 dans la réalisation de ce film, unique, ultime et rare, une des pièces maîtresses de l'écrivain.

Rêve d'enfant réalisé au seuil de la mort, c'est moins un testament qu'un aboutissement. Le film est cru, rude, parfois à la limite du soutenable. C'est aussi un reportage sur le travail de cui qui n'avait jamais cessé de considérer son existence comme un projet artistique en cours d'élaboration.

 

Zone 3, VF, 62 mn + bonus "Apostrophes" du 16 mars 1990 - Le Sexe Homicide, "Ex-Libris" du 7 mars 1991. Photos de Guibert, commentaires par Christophe Donner.

Ce film n'est pas sorti en salles. Uniquement en DVD 19,99 euros à la :

Librairie "Les Mots à la Bouche" 6 rue Sainte Croix de la Bretonnerie 75004 Paris

 Notre avis : Volodia et Indiangay

Nous avons été bouleversés en regardant ce film criant de vérité puisque filmé par un homme à l'article de la mort, ne cachant rien de son état de délabrement physique. Mais toujours lucide quant à  la possibilité de conservation de ses factultés intellectuelles amoindries par la maladie. Le pire pour un écrivain.  Nous avons retrouvé dans ce film les mots et situations exacts décrits dans son livre "Le protocole compationnel". En même temps qu'un homme délicieux, plus qu'il ne se décrit lui-même et que ne laisse supposer ses oeuvres. Malgré la dureté de ce film documentaire autobiographique nous ne pouvons que vous recommander de vous le procurer. C'est une oeuvre particulièrement émouvante. 

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17 janvier 2016

Furyo - de Nagisa Oshima

furyo21Dans un camp de prisonniers à Java en 1942 s'entassent plusieurs centaines de soldats anglais, australiens, néo-zélandais et néerlandais tombés aux mains des Japonais. Le responsable du camp est le capitaine Yonoi, un gradé craint et détesté par ses subalternes.

Intransigeant, il impose à tous une discipline de fer. La tension entre les deux communautés s'accentue avec l'arrivée d'un nouveau prisonnier, le major Jack Celliers : refusant de se soumettre, celui-ci rendra coup pour coup à ses geôliers... Le film est axé sur la découverte et la crainte qu'éprouvent ces deux hommes pris au piège de la guerre, dans un lieu clos, le camp, propre à l'éclosion de tout sentiment.

Mon avis : Indiangay

Superbe film. L'affrontement de deux mondes. De deux cultures de deux hommes face à face. La musique est également magnifique, envoutante, enivrante.

Les rôles interprètés par David Bowie, qui sait les sentiments qu'il inspire à son geolier et qui si l'on peut dire en profite et Ryuichi Sakamoto qui réprime les siens en raison du code moral imposé par son éducation et que l'autre, c'est l'ennemi.

Tout est dit au travers des regards, des expressions de visage. Qui a dit que les asiatiques avaient un visage impénétrable ? J'ai beaucoup aimé ce film.

 

17 janvier 2016

La reine des connes - Guillaume Nicloux

REINE_DES_CONNES_AFFICHERelatée à la première personne en des flashbacks successifs, La reine des connes conte la triste histoire d’Emma qui n’eut que le tort d’être née sous l’identité d’Emmanuel dans une famille bourgeoise à l’esprit étriqué.

Emma n’est pas une mauvaise fille… Si elle se prostitue c’est, dit-elle, pour ne pas entamer son capital qui va lui permettre de s’évader d’un corps qui n’est pas le sien. Ses relations avec la clientèle sont d’ailleurs placées sous le sceau de l’affection.

 Emma n’est pas très futée non plus… Petit papillon prisonnier de sa chrysalide, elle est le pigeon rêvé pour une arnaque à laquelle ne peut succomber qu’un transsexuel obsédé à l’idée de renaître. Dans son abyssale candeur, la bécasse se figure dès lors qu’elle peut doubler sa mise sans risque, fait confiance à tout le monde et en oublie de soupçonner les zazous prêts à l’empapaouter en beauté… alors que le spectateur subodore le désastre dès l’apparition des malfaisants.

Guillaume Nicloux réussit le tour de force de nous faire rire des terribles malheurs* qui fondent sur son héroïne tout en la filmant avec une tendresse infinie et sans une once de condescendance, y compris dans les scènes les plus improbables. Le réalisateur est aidé dans cette lourde tâche par un acteur touché par la grâce, Clément Hervieu-Léger, aussi troublant en douce ingénue poissarde qu’effarant en garçon désaxé et hargneux.

Evitant les clichés et sans fausse pudeur, le scénario prend à rebrousse-poil toutes les idées reçues, et sur la transsexualité (mystérieusement, c’est lorsque le comédien se montre au masculin que son personnage paraît alors le plus incongru, comme déguisé), et sur la tolérance (glaçante scène familiale où, surprise, c’est le père qui assume l’apparence de son rejeton**).

L’empathie est si forte avec cette grande bringue fataliste un tantinet suicidaire que l’on ne peut que croiser les doigts et rêver à sa réussite… mais les polars finissent mal en général pour ceux qui s’éloignent des sentiers battus. La reine des connes nous brise finalement le cœur tout en s’affirmant comme une belle réussite teintée d’amertume.

* Une scène d’anthologie : la nigaude découvrant qu’elle a été cambriolée met à sac toute sa chambrette
** Par amour, par refus du conflit — alors que la mère assouvit crument son rejet tandis que la lâcheté paternelle sera stigmatisée ultérieurement — ou par pure indifférence ? Liberté est donnée au spectateur d’embrasser l’une ou l’autre de ces raisons. Belle composition du couple Hélène Alexandridis/Pascal Bonitzer.
 

16 novembre 2015

A single man - de Tom Fort avec Colin Firth et Julianne Moore

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Synopsys :

Los Angelès 1962.

Depuis qu'il a perdu son compagnon Jim dans un accident, Georges Falconer, professeur d'université Britannique, se sent incapable d'envisager l'avenir. Solitaire malgré le soutien de son amie la belle Charley, elle-même confrontée à ses propres inrterrogations sur son futur. Gorges essaie sans trop y réussi de vivre "comme avant".

Une série d'évènements et de rencontres vont l'amener à décider s'il peut y avoir un vie après Jim.

 

 

Mon ressenti : Volodia

J'ai trouvé ce film fastidieux à regarder et j'ai eu beaucoup de mal à le visualiser jusqu'au bout. Sans doute ne ne l'ais-je pas compris à sa juste valeur ? 

L'histoire est celle d'un homme qui essaye de survivre, plus mal que bien, au décès accidentel de son compagnon.  Couple homosexuel (en 1960 on ne disait pas gay) fusionnel, ils vivaient isolés dans une maison de bois et de verre, dans une région de Californie pas encore devenue à la mode, quoi que, les constructions qui poussent le long de l'autoroute annoncent une gentrification prochaine.

Son quotidien est fait d'habitudes, dont chaque geste, chaque situation mettent en exerge et font ressurgir un passé à deux. Les jours sont rythmés par l'observation de ses voisins : le départ des époux aux bureaux, les tâches ménagères et la suveillance des enfants faites par les épouses restées au domicile. 

Le rituel de la journée est invariable, sans surprise. Il emprunte depuis des années, le même trajet  pour se rendre à l'Université ou il enseigne, un peu désabusé, la littérature anglaise à des étudiants soucieux d'améliorer leur condition sociale en se préparant un avenir  autre qu'un emploi à l'usine locale, obtenir une certaine sécurité et une aisance matérielle leur permettant de fonder un foyer. 

Georges observe ce qui l'entoure, il regarde les gens vivre, il ne fait pas partie de cette société qui n'est pas faite pour lui. Tout lui est devenu pesant, les banalités du quotidien insupportables. Georges est hanté par la mort de son compagnon. Peut on vivre au singulier lorsqu'on s'est vécus au pluriel ? 

15 novembre 2015

La confusion des Sentiments - Etienne Perrier - adapté du roman de Stéphan Sweig

 

 

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film d'Etienne Perrier 1979 adapté du roman de Stéphan Sweig, avec comme acteurs principaux : Michel Piccoli et Pierre Malet

Synopsis :

Roland, qui mène à Berlin une vie de débauché, décide à la suite d'une conversation avec son père, de partir pour une petite ville universitaire de province.

A peine arrivé, il éprouve une véritable fascination pour son professeur. Celle-ci lui donne une joie intense tant qu'elle reste cachée, mais inexorablement, la relation évolue jusqu'au scandale.

 

Mon avis : Volodia

 

Roland, le jeune étudiant découvre un sentiment exceptionnel pour son professeur de philologie anglaise mais il ne peut l'enregistrer comme attirance amoureuse. Admiration, croit-il, que cette totale dépendance où il s'enferme. 

Robert le professeur qu'il vénère. Sa femme qui l'a épousé par amour, mais surtout pour faire cesser les rumeurs d'une ancienne liaison de celui-ci avec un étudiant. Pourtant des instants étranges et d'inhabituels comportements déroutent le disciple, qui se croit parfois haï, alors qu'ils résultent simplement  de frustrations, d'une vie homosexuelle cachée.

C'est un roman grave, le récit d'une passion. La confusion des sentiments naît de la rencontre de ces deux êtres, qui en dépassant la frontière de l'amitié, vont se retrouver sur un terrain inconnu entre l'enfer et le paradis. C'est une oeuvre à la fois sulfureuse et incroyablement moderne. 

Nous avons beaucoup aimé ce film, car il traite d'un sujet délicat, et d'importance et le tout est fait avec sensibilité, sans dialogues, images ni plan graveleux comme se croit obligé d'afficher nombre de films traitant de l'homosexualité. 

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9 novembre 2015

Le langage perdu des grues - de Nige Finch

Le%20langage%20perdu%20des%20gruesSynopsys :

Un jeune homme  angoisse à l'idée de révéler son homosexualité à ses parents. Ce qu'il ignore c'est que son père qui est aussi gay s'apprête lui aussi à faire son coming-ut et à détruire son mariage.

 

Mon avis : Volodia

L'action dans le livre se déroule à Londres, alors que dans le film, elle se déroule à New York avec pour toile de fond l'épidémie de sida, et raconte la révélation de l'homosexualité de Philip  Benjamin à ses parents Owen et Rose.

Son aveu a un impact immédiat sur leur "vie confortable". Sa mère ressent de la tristesse motivé par le danger sexuel auquel s'expose son fils en tant qu'homosexuel. Pour son père, c'est la fin du monde.

Confronté à ce que lui apprend son fils, Owen est inconsolable, accablé par son incapacité à accepter sa propre homosexualité refoulée, qu'il n'assouvit que lors d'escapades clandestines dans des bars, cinéma, et "autres endroits gays",le dimanche après-midi.

J'ai trouvé ce film magnifique. Entre l'homosexualité assumée du fils et celle du père, honteuse, secrète enfouie sous la respectabilité d'un mariage et qui pour assouvir ses pulsions n'a d'autres choix que la pénombre des salles de cinéma porno ou  retrouver ses semblables et autres prostitués.

J'ai aimé le livre et n'ai pas été déçu par le film qui est à voir et à revoir, comme un classique du cinéma homosexuel.

9 novembre 2015

Les garçons de la bande de William Friedkin

LES_GAR__ONS_DE__50d3327baabd8_213x289Synopsis :

Dans un appartement de l'Upper East Side, Michaël, homosexuel cynique au train de vie princier, organise une fête d'anniversaire pour son ami Harold.

Alors que les premiers convives s'amusent et se charrient, Harold tarde à apparaître, Michaêl doit en outre accepter un invité de dernière minute : son ami de fac Alan, homme marié qu'il soupçonne d'être un "homo refoulé". Lorsque Harold arrive enfin, celui-ci affiche une humeur sarcastique qui alourdit l'atmosphère. Chacun laisse alors éclater ses rancoeurs...

 

Mon avis : Volodia

Dans ce film on retrouve l'essentiel de ce qui fait qu'un homme est homosexuel : L'efféminé, le dragueur, le gigolo, l'esthète, le cynique, l'amoureux et tout ce petit monde qui n'ont en fait qu'en commun le fait d'aimer leur semblable,  se reçoivent, s'amusent et font "les folles". Au cours de la soirée, après l'arrivée d'Harold très en retard à sa fête d'anniversaire et suite à ses remarques acides, l'alcool faisant son effet, la réception tourne au vinaigre. La violence physique et verbale atteint son paroxysme avant de s'éteindre d'elle-même quand finie la nuit.

J'ai beaucoup aimé ce film. Il nous montre une galerie de personnages bouleversants par leur humanité. 

20 septembre 2015

Mourir comme un homme -Joao Pedro Rodrigues

P1050839Ronia est une transsexuelle vétéran des spectacles de travestis à Lisbonne. Elle voit s'effondrer le monde qui l'entoure : Son statut de star est menacé par la concurrence des jeunes artistes.

Pressée par son jeune copain Rosario d'assumer l'identité de femme et de se soumettre à l'opération qui la fera changer de sexe, Tonia lutte contre ses convictions religieuses les plus intimes.

Pour s'éloigner de tous ses problèmes, elle part à la campagne avec Rosario. Après s'être égarés, ils se retrouvent dans une forêt enchantée, un monde magique où^ils rencontrent l'énigmatique Maria Bakker et sa copine Paula. Et cette rencontre va tout faire basculer.

Mon avis : Volodia

En regardant ce film, je n'ai pu m'empêcher de penser à" l'Année des 13 Lunes" de Fassbinder.

La similitude ne s'arrête pas simplement à ce destin tragique de pauvre clone féminin dans lequel ils sont l'un et l'autre empêtrés sans pouvoir trouver une sortie satisfaisante. En commun, leur insupportable solitude avec pour finir la mort, dans un corps qu'ils auront eu beau transformer, mais qui ne fera jamais d'eux des femmes aux yeux des hommes. 

Ce film bien que beau m'a laissé un goût d'immense tristesse. 

14 juin 2015

I am Divine - (film documentaire)

I-am-Divine-Documentaire_portrait_w193h257 Synopsis :

Voici l'histoire de Harris Glen  Milstead pour les intimes, et de Divine pour le monde.

De ses années de souffre-douleur en surpoids  à sa transformation  en la plus spectaculaire des drag queens,  I am Divine  retrace le parcours de celui qui fut la muse déchainée de John Waters.

Devant la caméra de Jeffrey Schwartz, la famille, les amis et partenaires à l'écran de l'icône trash et glamour reviennent sur l'ascension  fulgurante de ce jeune homme ayant fait de son poids et de son exubérance une force de contestation dévastatrice à la créativité  sans bornes, forçant  de son humour et de sa hargne punk toutes les barrières de la bienséance.

 

Mon avis : Volodia

Le personnage de Divine que s'est créé Harris Glen Milstead a été une forme d'exutoire à tous ses complexes, il pouvait se cacher derrière pour exprimer toutes ses émotions. Car il m'a semblé qu'il était extrémement gentil et fragile derrière cette carapace de drag queen obèse, excessif, outrancier.

J'ai bien aimé notamment les moments ou on le voit au "naturel" avec ses amis, sa famille ou il laisse transparaître le véritable Harris et un certain mal être.

Toutefois, J'ai un peu de mal à concevoir l'engouement qu'a pu suscité cette personne qui a atteint des sommets de vulgarité et a cru bon de choquer le commun des mortels en avalant une crotte de chien.... Mais bon, à l'époque ou l'homosexualité était vécue comme une tare, par les famille et une honte pour ceux qui en étaient atteint, il a été le premier à s'exhiber  avec flamboyance, et trash, mettant le doigt là ou cela faisait mal.

De nos jours, avec l'avancée des droits des homosexuels, cette attitude qui se voulait choquante et scandaleuse est dépassée. Reste que ce documentaire est à voir par curiosité pour le personnage.

11 mai 2015

Les garçons et Guillaume à table - Guillaume Gallienne

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Synopsis :

« Le premier souvenir que j’ai de ma mère c’est quand j’avis quatre ou cinq ans. Elle nous appelle mes deux frères et moi, pour le dîner en disant «Les garçons et Guillaume à table».

La dernière fois que je lui ai parlé au téléphone, elle raccroche en me disant «Je t’embrasse ma chérie».

Disons qu’entre ces deux phrases… il y a quelques malentendus  !

Ce film a obtenu 5 Césars : Meilleur film. Meilleur acteur. Meilleur premier film. Meilleur montage. Meilleur adaptation.

 

Mon avis : Volodia 

Dans ce film il est question d’un énorme malentendu induit par les parents eux-mêmes en raison de l’attitude ambigüe de leur fils cadet Guillaume. 

Celui-ci à l’inverse des ses frères est en admiration devant sa mère s’évertuant à lui ressembler tant par ses attitudes, que par sa manière de parler.  Il est introverti, n’aime pas le sport, et voue une admiration sans borne à l’Impératrice d’Autriche Sissi reine de «devoir» particulièrement élégante et raffinée. 

Guillaume est persuadé d’être une fille et fait tout pour attirer l’attention de sa mère, qu’elle comprenne l’admiration qu’il a pour elle, qu’elle le remarque. Dernier né d’une famille de trois garçons, il a du mal à trouver sa place. Il lui faut se démarquer. Il veut être la fille que sa mère n’a pas eu ! 

En fait Guillaume se cherche, réalisant surpris qu’il n’est pas une fille, et les femmes de la  famille (mère, tantes) lui ayant fait comprendre qu’elles le voyaient comme homosexuel, et lui n’ayant eu aucune expérience ni avec un homme, ni avec une femme, décide de se lancer. Il se rend dans une boite gays, et accepte de suivre chez eux deux rencontres qui se termineront pas un échec : une parce qu’il n’est pas «rebeu», l’autre parce que ladite rencontre est montée comme un cheval et que c’est l’animal dont il a le plus peur au monde.

Un jour, Guillaume s’incruste dans une soirée entre filles, et là, il tombe en extase devant une charmante jeune femme . De plus, leur l’hôtesse crie «les filles et Guillaume à table» Pour la première fois, il est considéré comme un garçon. C’est le déclic. 

Cela lui donnera la force de remettre les « pendules à l’heure » auprès de sa famille. Guillaume aime les femmes, toutes les femmes. Il les trouve belles dans tous les sens du terme.

J’ai littéralement adhéré à l’histoire, au jeu des acteurs et notamment à celui du héros tenu par l’auteur lui-même. Ce film est extrêmement drôle, mais tout y est délicat, fin dans son interprétation et dans son humour. 

Ce film dénonce les préjugés, qui de nos jours,  font que si un jeune homme est discret, introverti, élégant dans ses manières, dans sa façon de vivre, qu’il n’est pas fort en gueule, il est de suite catalogué d’efféminé, ce qui peut être parfaitement erroné. Film à voir ! 

 

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